Manifestation samedi 12 décembre Paris

ON MANIFESTE A PARIS LE 12 DÉCEMBRE - 14H30 place du Chatelet

ON MANIFESTE A PARIS LE 12 DÉCEMBRE

Dans le cadre des mobilisations contre la Loi Sécurité Globale et la Loi Séparatisme, une manifestation est organisée Samedi 12 Décembre à 14h30 au départ de la Place du Châtelet.

Les collectifs Urgence Notre Police Assassine, Bas les masques, Brigades de Solidarité Populaire Place des Fêtes, Brigade Anti négrophobie, Cerveaux Non Disponibles, Quartier Général, Acta, Gilets Jaunes Rungis, Gilets Jaunes Place des fêtes, Femmes Gilets Jaunes, Union Juive Française Pour la Paix, Jeune Garde Paris, Ultimatum GJ officiel, Jérôme Rodrigues, Peuple Révolté, Coordination Lycéenne Autonome Paname (clapaname), Youth For Climate IDF, Les Réfractaires du 80, les Mutilés pour l'exemple et Les Citoyens en Colère De France ont appelé à manifester ce samedi.

Cet appel à manifester est maintenu, plus que jamais !

Malgré le communiqué dont nous avons pris connaissance dans la presse, émanant de certain.e.s membres de la coordination Stop Loi Sécurité Globale, qui appellent à une mobilisation samedi partout en France, sauf à Paris, nous estimons que la situation est trop grave pour ne pas réagir à sa hauteur !

La manifestation parisienne aura donc bien lieu ce samedi avec celle contre la loi "séparatisme" dont les organisateur.trice.s, ont déposé un parcours Place du Châtelet - République à partir de 14H30 (c'est le rdv qui était initialement prévu à Saint Michel)

Nous sommes animé.e.s par la conviction qu'il faut maintenir la pression face au gouvernement et que ce n'est pas le moment de préparer les vacances au ski. N'ayant ni le budget ni l'envie, c'est à Paris que nous chausserons nos bottes pour descendre dans la rue.

Lien vers les évènements facebook. Général :  ICI Régional : LA

Modèle d'attestation de déplacement dérogatoire en vue de se rendre à une manifestation. Rédigée par un collectif d'avocat.es

attestation déplacement dérogatoire pour participer à une mniafestation déclarée


Protocole sanitaire : Merci pour les paroles, on attend toujours les actes

Merci pour les paroles, on attend toujours les actes. Communiqué de la Coordination Lycéenne Autonome de Paname (CLAP)

La Coordination Lycéenne Autonome de Paname réagit dans un communiqué face aux mesurettes prises par Blanquer pour "renforcer" le protocole sanitaire. S'il a bien cédé sur quelques revendications, le compte n'y est pas et l'éducation fait encore une fois de plus les frais d'une politique à 0€ qui sauve à peine les apparences et ne prévoit toujours pas plus de profs pour des classes moins surchargées.

Merci pour les paroles, on attend toujours les actes

Jean Michel Blanquer a annoncé hier soir plusieurs « mesures », ou du moins quelques directives prévoyant la mise en place de différentes dispositions sanitaires. Certes, des classes en demi-groupes sont évoquées et prévues, et les E3C annulées, mais ces annonces sont largement insuffisantes.

  • Premièrement, le communiqué du ministre prévoit « au moins 50% des cours en présentiel ». Autrement dit, il est toujours envisageable de voir une disposition inéquitable des cours en visioconférence, et ce au détriment de la santé des élèves, des professeur-es, ainsi que de leurs proches.
  • Deuxièmement, rien n’a été communiqué quant à l’équipement informatique des élèves n’ayant pas accès à internet à leur domicile, et qui ne peuvent, dans l’état actuel, pas suivre lesdits cours à distance.
  • Quant à l’annulation des E3C, il est dit que les notes des examens prévus seront remplacées par les moyennes des élèves. Or ces notes n’ont jamais été censées compter à ce point pour le baccalauréat. Cette mesure rétroactive pose évidemment problème, les lycéen-nes n’ayant pas préparé chaque contrôle comme une épreuve de bac.
  • De plus, un grand nombre d’élèves se sont trouvés l’année dernière en situation de décrochage scolaire, en raison du confinement et des cours à distance dont l’existence n’a été assurée par aucune instance. Il a d’ailleurs été remarqué qu’une fois de plus, les populations les moins aisées financièrement ont été beaucoup plus affectées par ces turbulences que les tranches les plus riches de la société.
  • Enfin, monsieur Blanquer a annoncé que les épreuves d’enseignement de spécialités de mars seraient désormais des épreuves à la carte, durant lesquelles les élèves auront le choix entre deux sujets. Malheureusement, il explique également que seul l’étude d’un des deux sujets proposés serait garantie en classe.

Ces insuffisances sont toutes dues à la même raison : un manque cruel de moyens pour l’Éducation Nationale. Avec plus de budget et plus de professeur-es, l’intégralité des cours pourrait avoir lieu en demi-groupes, tou-tes les élèves auraient un accès à internet garanti, et les sujets de bac seraient tous (miraculeusement) étudiés en classe.

C’est pour ces multiples raisons que nous nous adressons aujourd’hui à monsieur Blanquer et son ministère : nous souhaitons des réponses claires, et des annonces précises quand à la mise en place de ces protocoles. Nous demandons une date de mise en place des cours en demi-groupes, et nous demandons (une fois de plus) à ce que soit fournis aux élèves en difficulté financière un accès gratuit à Internet.

Si lundi nos interrogations restent sans réponse, nous maintiendrons notre appel à toustes les lycéen-nes de France à bloquer leurs lycées tant que ces mesures ne seront pas appliquées

 

Coordination Lycéenne Autonome de Paname (CLAP)

 

version tract : Merci pour les paroles, on attend toujurs les actes


Un appel à braver le couvre feu

Nous refusons de vivre comme ça ! Appel à dé-couvrir le feu

Un rendez-vous et une raison très simple : "On brave le couvre feu car c'est idiot de faire peser sur nos vies le fait que Macron ne mette pas assez d'argent pour la santé."
Nous publions cet appel à désobéir reçu aujourd'hui qui témoigne de 6 mois de ras le bol et d'un sentiment largement partagé que le gouvernement joue avec nous.

Nous refusons de vivre comme ça ! Appel à dé-couvrir le feu

Samedi 17 octobre 20H à Châtelet et tous les samedis suivants

Nous refusons le couvre-feu.
Nous refusons de payer sur nos vies l’aberration des gouvernants.
Nous refusons de subir encore le ressentiment du pouvoir contre ce qu’il reste de joie dans nos existences.
Nous refusons le paradoxe tordu qui consiste à nous empêcher de vivre au nom de « la vie ».
Nous refusons qu’un quelconque gouvernement prétende nous maltraiter « pour notre bien ». Nul n’est mieux placé que nous pour savoir ce qui est bon pour nous.
Nous refusons de laisser l’État s’approprier sous couvert de « solidarité » ou de « collectif » ce qui relève du lien entre les êtres.
Nous refusons de nous laisser mener en enfants par une bande de gogols à diplômes.
Nous refusons d’ignorer que tout gouvernement n’a de principal souci que le contrôle de la population, et que le couvre-feu émane d’un «conseil de défense ».
Nous refusons de voir dans le goût du pouvoir autre chose qu’une sinistre perversion. Qui use du pouvoir en abuse. C’est connu.
Nous refusons de voir un pervers présidentiel jouir obscènement de nous « serrer la vis » et de « frapper les esprits ».
Nous refusons de croire qu’un État qui laisse l’industrie nous intoxiquer depuis des lustres, qui réintroduit les néo-nicotinoïdes, qui impose la 5G, qui éborgne sans états d’âme les manifestants, qui laisse les pauvres crever de faim, qui rationne soins et soignants, qui couvre tous les abus de la mafia nucléaire depuis toujours, qui planifie sous couvert de « relance verte » la dévastation des campagnes par l’éolien industriel, prétende se soucier moindrement de notre santé.
Nous refusons qu’une épidémie serve à produire le civisme qu’une société qui va dans le mur ne parvient plus à commander.
Nous refusons de vivre pour travailler.
Nous refusons de vivre pour l’économie, dont toute la terre atteste le désastre.
Nous refusons que la police s’avance partout où recule l’assentiment du libre-arbitre.
Nous refusons le chantage entre liberté et discipline.
Nous refusons d’avoir à choisir entre le délire de la propagande gouvernementale et celui du conspirationnisme.
Le couvre-feu, c’est la goutte qui fait déborder le vase. Vous avez cherché à pousser votre avantage un cran trop loin. Ne comptez plus sur notre coopération. Vous avez donné toute la mesure de votre malfaisance. Vous nous trouverez sur votre chemin à chaque nouveau pas dans la démence gouvernementale que vous ferez. Reprenez vos préfets, vos ordonnances, vos états d’urgence, vos journalistes, vos managers, vos ministères, vos flics, vos grands inquisiteurs, vos experts et vos politiciens. Nous ne jouons plus le jeu. Les règles vont en changer. Nous allons reprendre nos vies en main. Vous n’êtes plus dignes de vous en mêler.

Nous nous rassemblerons à l’avenir tous le samedis à 20H, avec ou sans flambeaux. Nous déambulerons dans les rues de NOS villes jusqu’au pied de VOS palais.
Jusqu’à votre destitution. Jusqu’à ce que nous puissions enfin respirer l’air libre.

Un appel à braver le couvre feu


Marche pour Hong Kong - Paris 11 juillet

MARCHE POUR HONG KONG : Le 11 juillet à Paris a lieu une marche de soutien

« 1984 de Georges Orwell, modèle d'une société parfaite pour Xi Jinping. Les livres parlant de démocratie, qu'ils soient historiques ou contemporains sont bannis des bibliothèques. Les slogans sont interdits et brandir des feuilles blanches (devenu le symbole de la censure du Parti Communiste Chinois) sont passibles d'arrestations et de condamnations. Et même dans ton pays, que tu sois en France ou ailleurs, tu es maintenant contraint à respecter la Loi de Sécurité Nationale. Elle est, en fait, la première loi sur le contrôle international, dépassant toutes frontières, toutes cultures et toutes ethnies. Que tu sois Ouïghour, Tibétain, Hong Kongais, Français, Anglais, Tchétchène : Si tu ne respectes pas cette loi, tu seras fiché et interpellé dès ton arrivée dans "La République Populaire de Chine". Voilà l'importance des masques, voilà l'importance des parapluies, et voilà l'importance de se révolter maintenant. C'est beaucoup plus qu'une question de sol et de business. C'est l'avenir mondial qui se joue ici et maintenant. »

C'est le témoignage de camarades Hongkongais qui nous transmettent l'appel à tous les Gilets Jaunes de France, tous les Hong Kongais réfugiés, tous les sympathisants et toutes celles et ceux qui sont contre le despotisme de Xi Jinping à venir marcher à leur coté samedi 11 juillet à Paris.

Dans la description de l'évènement une attention particulière est exprimée sur le masquage des visages. Surtout si vous comptez voyager en Chine à l'avenir :

"Amenez votre plus beau parapluie, votre plus beau casque jaune et votre plus beau masque de protection contre le coronavirus.
Lunettes de soleil et chapeau recommandé.

Manifestation déclarée, plus de détails à venir dans les prochains jours."

Premier évènement de grand envergure et à grande échelle en soutien à Hong Kong face à l'oppression de la Chine et du non-respect du traité de 1997 sur la rétrocession de Hong Kong à la Chine !

Pour partager et s'inscrire à l'évènement : https://www.facebook.com/events/281897293247450/


17 juin : Agir contre la réintoxication du monde

17 JUIN : Plus de 30 départements coordonnent des actions contre la réintoxication du monde

Appel 17 juin : Agire contre la réintoxication du monde

Communiqué 

Depuis la fin du confinement, la pollution repart en flèche et  la catastrophe écologique se redéploie partout aux nom des mêmes impératifs marchands, avec le même aveuglement. Visiblement, rien ne fera bifurquer les lobbys économiques et gouvernements si on ne les y contraint pas maintenant !

Depuis la fin du confinement, plus de 150 organisations, syndicats, collectifs, groupes de gilets jaunes et de la jeunesse climatique, zads et territoires en lutte ont rejoint l’appel à agir le 17 juin contre la réintoxication du monde.

Pour le 17 juin sont déjà annoncés plusieurs dizaines d’actions, blocages, rassemblements, vélorutions, occupations de terres ou de bâtiments aux quatre coins du pays et au-delà. Elles auront lieu sur des forêts, terres cultivables, parcs, friches urbaines réensauvagées ou zones humides menacées. Elles cibleront des usines de pesticides ou des unités d’élevage intensif, des aéroports, des plates-formes Amazon, des projets de construction routière, de centre commerciaux ou de numérisation accrue de nos existences…

Vous pouvez consulter la liste en cours des actions et mobilisations publiques par départements et villes ici https://17juin.noblogs.org/appels-dactions-publiques-locales-pour-le-17-juin/ et sur le facebook https://www.facebook.com/Agir17juin-101907081540247/

Nous désirons que le 17 juin soit, après le confinement, la première étape d’un nouveau cycle d’action en vue de faire chuter drastiquement la nocivité globale des activités du capitolacène sur le vivant ! Il est maintenant avéré qu’aucune crise, aussi grave soit-elle, ne fera dévier ce gouvernement et les lobbys agro-industriels, aéronautiques, chimiques ou nucléaires qui guident ses politiques du nihilisme absolu de leur obsession économique. A nous d’agir et d’y mettre fin !

La dynamique du 17 juin se veut absolument complémentaire de ce qui se passera le 16 juin sur le front de la solidarité avec les soignant.e.s ainsi que des manifestations en cours contre les violences policières et le racisme systémique. Il n’y aura pas de désintoxication du monde possible sans justice sociale ! Nos combats doivent se poursuivre sur ces différents fronts.

Pour suivre les différentes actions en cours lors de la journée du 17 juin, suivez les hashtags #Agir17Juin #StopReintox #mondedapres sur twitter, 17juin.noblogs.org ou le fb https://www.facebook.com/Agir17juin-101907081540247/

En Ile de France : 3 actions

// Val D’oise – Paris

Contre l’urbanisation du Triangle de Gonesse/ le T4 (aéroport de Roissy) / la gare en plein champs (Triangle de Gonesse, ligne 17 Nord) AGISSONS!

Action surprise sur inscription : https://framaforms.org/17-juin-appel-a-agir-contre-les-reintoxications-du-monde-1590843817

// Seine Saint Denis – Montreuil

Contre le projet immobilier de Bouygues sur les murs à pèches

16h : actions artistiques, 18h : prises de paroles, 19h : banquet militant

https://www.facebook.com/events/282688932921985/

// Seine Saint Denis – Aubervilliers

Rangez vos engins, laissez-nous nos jardins !
18h au métro Fort d’Aubervilliers

Des actions sont prévues dans plus de 30 départements : CLIQUEZ ICI 

 


NOS MAINS TENDUES FACE AUX BRAS TENDUS

Nul opportunisme. Nulle alliance contre-nature. Il n'y qu'amitié, solidarité et amour.

Samedi, dans les rues de Paris et partout en France, nous appelons les Gilets Jaunes à rejoindre massivement les différents rassemblements Black Lives Matter.
Des Gilets Jaunes s'offusquent d'un tel rapprochement ? Certains anti racistes refusent le soutien des GJ ? Ce n'est pourtant pas le moment de s'étouffer dans des puretés idéologiques.

"Ce mouvement est particulièrement complexe et protéiforme. D'un collectif à l'autre, les logiques et dynamiques semblent bien différentes. C'est aussi un mouvement qui évolue de jour en jour, et fait émerger une lame de fond qui couvait depuis longtemps dans la société.". Cette phrase, nous l'avons écrit en novembre 2018 pour parler du mouvement GJ, qui secouait depuis quelques jours le pays. A l'époque, nous avions lancé notre premier événement CND : "Front de Gilets Jaunes antiracistes". Nous précisions ensuite : "Nous devons accepter, et promouvoir, la diversité des profils, des méthodes et des objectifs de lutte. Mais, en ces temps particulièrement dangereux face au danger fasciste (Brésil, Italie, USA), nous nous devons de combattre cette peste brune sur le terrain et dans les luttes. Nous ne ferons reculer l'extrême droite qu'en remportant des batailles sociales contre un pouvoir aux abois détesté par le plus grand nombre."

Dès cet acte 2, des membres du comité Adama soutiennent l'événement que nous avons lancé. La semaine suivante, pour l'acte 3, le comité lance son propre appel à rejoindre les GJ dans les rues de Paris. A l'époque, certains militants des quartiers populaires grognent et refusent de participer à ce mouvement arguant que ces gens là ne sont jamais venu soutenir les quartiers quand ils en avaient besoin, que ce soit face à la police raciste et violente ou face aux politiques d'abandon de ces quartiers. De la même façon que depuis quelques jours, certains GJ refusent de manifester contre les violences policières et son racisme systémique arguant que trop peu d'orgas des quartiers sont venues aux manifs GJ, qui ont connu une terrible répression de la part du pouvoir, de la police et de la justice.

Alors oui : trop de citoyens n'ont pas vraiment pris conscience du  racisme  qu'on pouvait vivre dans les quartiers. De la même manière que trop peu de personnes ont pris la mesure du traitement totalitaire et fascisant qu'ont subi les Gilets Jaunes. Mais que fait-on une fois qu'on a dit ça ? Chacun reste dans son coin et rumine le manque de solidarité passé ? Ou alors, on fait le premier pas. On tend la main. Et on prend conscience qu'au delà de nos différences, il y a surtout énormément de choses à partager et à construire ensemble.

Il n'y a que deux côtés d'une barricade. La force du pouvoir, c'est d’empêcher tous ceux qui ne sont pas de son côté d'oser s'approcher les uns des autres, pour être assez nombreux et assez forts pour le renverser. Car c'est bien de cela dont il s'agit. Pour nous, il n'y aura pas de véritable victoire sur le front du racisme sans que le pouvoir actuel soit renversé. Sans que le système actuel ne soit détruit. Pas plus qu'il ne pourrait y avoir de véritable victoire sur le front des luttes sociales sans que le pouvoir soit renversé. Sans que le système actuel ne soit détruit.

Une révolution, une vraie, ne peut se faire que de façon globale : sur le front social, écologique et des droits civiques. Lorsqu'on combat l’oppression, on ne peut la combattre que totalement, et lutter avec tous ceux qui sont victimes de ce système oppressif : les plus faibles. Économiquement et socialement. Se battre pour un monde plus juste et égalitaire pour tous ! pour toutes. L'émancipation ne peut être qu'inclusive. Ce combat est celui des Gilets Jaunes, car c'est celui de l'émancipation, de la dignité et de la justice sociale.

Et si tout cela peut vous paraitre totalement déconnecté des réalités du terrain, dites vous qu'il y a plus de 30 ans, dans l'Angleterre de Thatcher, la Gay Pride de 1985 a vu défiler en tête de cortège, des ouvriers du syndicat national des mineurs ! Un an plus tôt,  quelques militants homosexuels avaient créé l'organisation "Lesbiennes et gays en soutien aux mineurs" pour aider financièrement la grève historique en cours. Pour eux, les mineurs luttaient contre le même pouvoir et la même police. Un pouvoir qui détruit et qui opprime. Un pouvoir qui divise et qui stigmatise. Jugée contre nature et opportuniste, cette main tendue par une dizaines de militants a initialement été rejetée par les mineurs, avant que quelques dizaines de mineurs d'un village du Pays de Galle acceptent cette main tendue.

Il est tout aussi difficile d'être le premier à tendre la main que d'être celui qui accepte la main tendue. Mais rares sont ceux qui regrettent d'avoir fait l'un de ces gestes.

Alors, pour ne pas avoir de regrets dans quelques années, tendons nous la main. Dès samedi.


Marche des solidarit& 30 mai

Marche des solidarités le 30 mai ! Tous les RDV en France

Plus de 200 organisations et 300 personnalités appellent à une journée de manifestations le samedi 30 mai : « ces exigences de justice et d’égalité sont aussi d’impérieuses nécessités sanitaires hors desquelles tous les discours contre la propagation du coronavirus sont vains ».

Les libertés des sans papiers sont inconditionnelles et il est inadmissible que ne pas avoir les bons papiers soit criminalisé. Tant que des sans papiers seront enfermés dans des Centres de Rétentions Administratifs, la notion même de liberté n'existera jamais vraiment. Même dans les têtes de ceux qui se prétendent libres. #30maiSolidarites #30maiRegularisationSansPapiers #30maiFermetureCRA #30maiLogementPourToutEs

🔴Pour Paris les rdv et le dispositif est en-dessous. Il est demandé à touTEs les manifestantEs de venir avec des masques et de respecter les distances physiques.

LES RENDEZ-VOUS

Grenoble : 16H00 Place Victor Hugo

Le Havre : 15H00 devant l'Oiseau Blessé dans les jardins de l'Hôtel de Ville départ à 15H05 en manifestation

Lille : 15H00 Place de la République / Parvis des droits de l’homme

Limoges : 15H00 devant la préfecture

Lyon : 15H00 Haut de berges de la Guillotière

Marseille :

Metz : 12H00 devant le CRA

18H00 Place des droits de l’homme

Montpellier : 14H00 devant la préfecture

Nantes :

Nîmes : 11H00 devant différents lieux simultanément : le nouveau bâtiment du Conseil départemental l'entrée de la préfecture avenue Feuchères ; l'hotel BnB rue de la République/rue Dhuoda; l'entrée du Conseil Départemental rue Guillemette, le Centre de rétention administrative

Orléans : 14H00 Chaîne humaine au départ de la Place de la République

Perpignan : 11H00 Place de la République

Poitiers :

Rennes : Rdv 14H30 Départ coordonné à 15H

« A cette fin, plutôt qu’un défilé « classique », les manifestantEs seront appeléEs à se répartir dès le départ entre 9 points de rassemblements dès 14H45 pour un départ à 15h pétantes! Merci de vous inscrire sur le tableau suivant afin de former des groupes de 10 personnes par point de rassemblement: https://lite.framacalc.org/9gvu-et3qa1nf34.

Si lors de votre inscription, le tableau est rempli, le RDV est donné à République, où les manifestantEs seront invitéEs à se placer le long des cortèges déjà existants, en respectant une distance de 2 mètres. »

LES POINTS DE RDV

1) Place de Bretagne haut 2) Place de Bretagne bas 3) Place Commeure 4) Parking des Impôts (bd Magenta) 5) Parking Charles de Gaulle 6) Parking Kléber 7) Parking des Quais (gauche) 😎 Parking des Quais (centre) 9) Parking des Quais (droit)

Événement fb : https://facebook.com/events/s/papiers-logements-cra-le-30-ma/243717846908958/?ti=as

Rouen : 14H30 esplanade Pasteur devant la préfecture

Strasbourg : 15H00 Place de la Gare

Valence :

Paris : 14H30 Place de la Madeleine ou Place de l'Opéra selon affinités (liste des points de rdv des organisations signataires ci-dessous). En raison de l'arrêté d’interdiction il est conseillé de prévoir un accès autre que les métros Madeleine et Opéra en cas de fermeture de ces stations, d'arriver à 14H30, de s'installer sur la place en respectant les distances physiques et de sortir panneaux, drapeaux et banderoles quand u nombre important de manifestantEs sont réuniEs. Des informations circuleront entre les organisations pendant le déroulement ainsi qu'en cas d'impossibilité d'accès aux places prévues. Il est donc utile de se regrouper avec des groupes constitués.

POINT ANTI RÉPRESSION PARIS

A priori les interpellations sont exclues. S'il vous arrivait néanmoins d'être interpelléE voici les noms d'avocats à citer : Servane Meymard ou Hanna Rajbenbach. Le numéro de la Legal Team à appeler pour unE proche est : 07 52 95 71 11 - Nous remercions la coordination antirépression pour tout son boulot. infos : https://paris-luttes.info/samedi-30-mai-anticipons-la-14032

En cas d'amende n'appelez pas les avocates mais faites remonter - après la manifestation - l'information à marche.des.solidarites@gmail.com pour recours collectif avec nos avocats.

Répartition par organisation :

14H30 - Place de la Madeleine

Collectifs locaux de soutien aux migrantEs
Collectifs contre les Centres de rétention
Associations de solidarité avec les migrantEs
Associations antiracistes
Associations de l’immigration
Comités de familles de victimes des violences policières
Associations féministes
Associations environnement
Associations altermondialistes et solidarité internationale
Associations de défense des libertés
Partis politiques

14H30 - Place de l’Opéra

Collectifs de Sans-Papiers et MigrantEs
Collectifs des foyers de travailleurs immigrés
Collectif pour l’avenir des foyers
Associations pour le droit au logement
Collectifs Interpro
Gilets Jaunes
Syndicats

SOURCE ➡️ https://blogs.mediapart.fr/marche-des-solidarites/blog/290520/manifestations-du-30-mai-les-rendez-vous-sur-toutes-les-villes

 


17 JUIN - AGIR CONTRE LA RÉINTOXICATION DU MONDE

"Rien ne les fera bifurquer, si on ne les y contraint pas maintenant"

Un appel de collectifs, syndicats, associations, territoires en lutte en vue de se coordonner pour agir le 17 juin et par la suite contre la « réintoxication du monde »

Nous avons aperçu pour la première fois dans nos existences ce qui serait encore possible si la machine infernale s’arrêtait enfin, in extremis. Nous devons maintenant agir concrètement pour qu'elle ne se relance pas.

---- Nous appelons en ce sens, les habitant.e.s des villes et campagnes à déterminer localement les secteurs qui leur semblent le plus évidemment toxiques - cimenteries, usines de pesticides ou productions de gaz et grenades de la police, industrie aéronautique, publicitaire ou construction de plates-formes amazon sur des terres arables, unités d'élevage intensif ou installations de nouvelles antennes 5G, clusters développant la numérisation de l’existence et un monde sans contact avec le vivant, destructions de forêts et prairies en cours... Nous invitons chacun.e localement à dresser de premières cartographies de ce qui ne doit pas redémarrer, de ce qui doit immédiatement cesser autour d'eux, en s'appuyant sur les cartes et luttes existantes (1). Puis nous appelons le 17 juin à une première série d'actions, blocages, rassemblements, occupations... Viser sérieusement à se défaire de certains pans du monde marchand, c’est aussi se doter des formes d’autonomies à même de répondre aux besoins fondamentaux de celles et ceux que la crise sanitaire et sociale plonge dans une situation de précarité aggravée. Nous appelons donc aussi le 17 juin, dans la dynamique des campagnes covid-entraide et « bas les masques », à des occupations de terres en villes ou dans les zones péri-urbaines pour des projets de cultures vivrières, ainsi qu’à des réquisitions de lieux pour des centres de soins et redistributions. ----

Appel 17 juin : Agire contre la réintoxication du monde

Certes, nous ne reviendrons pas sur les espèces disparues, les millions d'hectares de terres ravagées, de forêts détruites, sur les océans de plastique et sur le réchauffement planétaire. Mais de manière inédite dans le capitalocène, les gaz à effet de serre ont diminué partout ou à peu près. Des pans de mer, de terres ont commencé doucement à se désintoxiquer, tout comme l'air des villes suffoquées de pollution. Les oiseaux sont revenus chanter. Alors pour qui se soucie des formes de vie qui peuplent cette planète plutôt que d'achever de la rendre inhabitable, la pandémie mondiale dans laquelle nous sommes plongé.es, en dépit de tous les drames qu'elle charrie, pourrait aussi représenter un espoir historique. Nous avons paradoxalement vu se dessiner le tournant que l’humanité aurait dû prendre depuis bien longtemps : faire chuter drastiquement la nocivité globale de ses activités. Ce tournant, même les incendies de territoires immenses, les sécheresses consécutives ou les déflagrations à la Lubrizol des mois derniers n’avaient pas réussi à nous le faire prendre.

Cependant ce tournant que nous désirions tant, nous n'avons généralement pas pu l'éprouver dans nos chairs parce que nous étions enfermé.es. Car mis à part dans certains territoires ruraux et quartiers solidaires où existent déjà un autre rapport au collectif, à la production ou au soin du vivant, le confinement a été pour la majorité de la population le début d'un cauchemar. Une période qui renforce encore brutalement les inégalités sociales, sous pression policière. Et le drame absolu c’est que, malgré tout ce que la situation a de bouleversant, nos gouvernants n'en sont pas moins déterminés à relancer dès que possible tout ce qui empoisonne ce monde et nos vies - tout en nous maintenant par ailleurs isolé.es et contrôlé.es dans des cellules numériques, coupé.es de ce qui fait le sel et la matérialité de l'existence.

Rien ne les fera bifurquer, si on ne les y contraint pas maintenant

Au cours des deux derniers mois, les exposés et tribunes se sont accumulées sur nos écrans à une rapidité inversement proportionnelle à notre capacité à se projeter sur des actions concrètes. Les analyses nécessaires ont été faites sur le lien entre cette épidémie et les flux économiques mondialisés et leurs dizaines de milliers d'avions, la déforestation et l'artificialisation des milieux naturels qui réduisent les habitats des animaux sauvages ou encore l’élevage intensif. Tout a été dit sur la dimension annonciatrice de la pandémie, sur la suite de confinements et de désastres à venir si nous n’en tirons

pas les leçons. D'autant que la marche courante de l'économie et des productions sur lesquelles reposent notre mode de vie, va continuer à tuer dans les décennies à venir bien davantage et plus durablement que le covid-19 (2). Mais pour l’État et pour les lobbys agro-industriels, aéronautiques, chimiques qui guident ses politiques, les conséquences à tirer de la crise sanitaire sont visiblement toutes autres. Ils en ont tout simplement profité pour faire sauter quelques lois environnementales et déverser des pesticides encore plus près des maisons, pour relancer la construction d’avions, d'antennes 5G ou l’extraction minière en Guyane...Il est donc maintenant avéré qu’aucune crise, aussi grave soit-elle, ne les fera dévier du nihilisme absolu de leur obsession économique. Nous avons eu deux longs mois pour nous en rendre compte. A nous maintenant d’agir et d’y mettre fin.

Le gouvernement parle du mois de juin comme d’une "nouvelle marche" dans un déconfinement qui n'est pour lui qu'une remise en marche de l'économie et de la destruction du vivant. La seule "marche" sensée c’est au contraire d’agir concrètement pour l’arrêt des secteurs de productions les plus empoisonnants. Nous appelons donc à une première série de mobilisations simultanées le mercredi 17 juin.

Comment agir ?

Le déconfinement doit être un élan historique de reprise en main sur nos territoires, sur ce qui est construit et produit sur notre planète. Il doit permettre de dessiner ce qui est désirable pour nos existences et ce dont nous avons réellement besoin. C'est une question de survie, davantage que toutes les mesures et tous les nouveaux types de confinements que l'on nous fera accepter. Cela signifie construire de nouvelles manières d'habiter le monde, chacun de nos territoires, mais aussi accepter de rentrer en conflit direct avec ce qui les empoisonne. Il y a des industries qui ne se sont pas arrêtées pendant le confinement et qui doivent aujourd’hui cesser. Il y en a d’autres qui ont été interrompues et dont l'activité ne doit pas reprendre. Cela ne pourra se faire sans constituer chemin faisant des liens avec les travailleurs qui en dépendent économiquement. L’urgence sociale c’est de penser avec elles et eux les mutations possibles des activités et les réappropriations nécessaires des lieux de travail. C'est aussi de contribuer à maintenir un rapport de force permettant de garantir les revenus pendant les périodes de transition et les besoins fondamentaux de ceux dont la crise aggrave encore la précarité. Nous n'atteindrons pas immédiatement toutes les productions qui devraient l'être. Mais il faut commencer, en stopper un certain nombre aujourd'hui pour continuer avec d'autres demain.

Nous appelons en ce sens, les habitant.e.s des villes et campagnes à déterminer localement les secteurs qui leur semblent le plus évidemment toxiques - cimenteries, usines de pesticides ou productions de gaz et grenades de la police, industrie aéronautique, publicitaire ou construction de plates-formes amazon sur des terres arables, unité d'élevage intensif ou installations de nouvelles antennes 5G, clusters développant la numérisation de l’existence et un monde sans contact avec le vivant, destructions de forêts et prairies en cours... Nous invitons chacun.e localement à dresser de premières cartographies de ce qui ne doit pas redémarrer, de ce qui doit immédiatement cesser autour d'eux, en s'appuyant sur les cartes et luttes existantes (1). Puis nous appelons le 17 juin à une première série d'actions, blocages, rassemblements... occupations...Viser sérieusement à se défaire de certains pans du monde marchand, c’est aussi se doter des formes d’autonomies à même de répondre aux besoins fondamentaux de celles et ceux que la crise sanitaire et sociale plonge dans une situation de précarité aggravée. Nous appelons donc aussi le 17 juin, dans la dynamique des campagnes covid-entraide et « bas les masques », à des occupations de terres en villes ou dans les zones péri-urbaines pour des projets de cultures vivrières, ainsi qu’à de réquisitions de lieux pour des centres de soins et redistributions.

Nous devons trouver des formes de mobilisations adéquates à la situation. Nous traversons une période où chacune d’entre elle peut avoir une portée décuplée. On peut faire beaucoup à peu (3) mais on peut aussi se donner les moyens d'être nombreux-ses. Nous nous appuierons sur la ténacité des zads, la fougue des gilets jaunes, l'inclusivité et l'inventivité des grèves et occupations climatiques d'une jeunesse qui n'en peut plus de grandir dans un monde condamné.

Nous agirons en occupant l'espace adéquat entre chaque personne et pourquoi pas masqués.es quand cela s'avère nécessaire pour se protéger, mais nous agirons !

Pour signer l'appel ou pour envoyer un appel à mobilisation locale ou un texte d’analyse complémentaire, vous pouvez écrire à 17juin@riseup.net. Ils seront mis à jour et apparaîtront entre autres sur le site https://17juin.noblogs.org/ et la page facebook https://www.facebook.com/Agir17juin. Merci pour tout relais !

Premiers signataires : Youth For climate Paris, Génération Climat (Belgique), Notre-Dame-des-Landes Poursuivre Ensemble (44), Revue Parade, Extinction Rebellion Pepps, Union Syndicale Solidaires, Solidaires 44, Sud Rail, le Front de mères, Partager C'est sympa, des habitant.e.s de la zad de Notre-Dame-des-Landes, Youth for Climate Lyon, Espace autogéré des tanneries (21), la Cagette des terres (44), Assemblée des écologistes en lutte, Attac 44, la commune de Chantenay (44), Collectif pour le Triangle de Gonesse (95), la Dérive social club (44), Longo Mai Grange Neuve (04), Pour une Ecologie Populaire et Sociale, RISOMES (Réseau d'Initiatives Solidaires Mutuelles et Ecologiques)(21), des opposant.es aux projets de Center Parcs en Isère, Jura et Saône-et-Loire, collect'IF paille (île de France), Exctinction Rebellion Nantes, groupe Marcuse, La Mine collectif Cévenol membre du réseau HALEM, Attac Flandre, Cinémas Utopia (34 et 31), Coordination antinucléaire du sud-est/CAN-SE, collectif antinucléaire de Vaucluse/CAN84, ABC'éditions Ah Bienvenue Clandestins ! (46), Pays de Retz Environnement (44), collectif Faire Commune, l'Asso'Loucionne (43), Attac Alès Cévennes (30), Collectif Nantais contre le Surf Park de Saint-Père-en-Retz, collectif Destocamine (67), Longo Maï Treynas (07), Extinction Rébellion Ardèche, Peuple Révolté, ZAD d'Arlon, Exctinction Rebellion Marseille, Résistance 5G nantes, Climat Social, Anarchistes LGBT France, CycloTransEurope, Collectif C100fin (Vexin), Theatre de l’ADN (Arrêt du Nucléaire), Colère 44, Informations Pesticides Belle Ile (56), Attac 89, l'institut Momentum, Attac Moselle, Attac France, Association Contre le Projet commercial "village de marques" et pour la Défense des Habitants du Quartier du Viaduc Timbergues les Aubugues de Souillac, Groupe de Greenpeace à Montpellier, CycloTransEurope, Emancipation - tendance pédagogique et intersyndicale, Direct des manifestations, Attac Vendée (85) , CNT Éducation Social-Services 34, SOS MCS, Alerte Pesticides Haute Gironde (33), France Nature Environnement Haute-Loire - FNE 43, ATTAC Moselle (57), Extinction rébellion Montreuil (93), Arrêt du nucléaire 34, Collectif contre les poulaillers des 120 000 poulets de Langoëlan + Collectif contre le poulailler des 178800 poulets de Plaudren (56), Résistance écologiste rennes (35), Extinction Rébellion X-RER-B-Sud, Comité ANV et Résistances de la ZAD de Beynac /Fayrac (24), ANV COP21 Montpellier (34), collectif Red de Resistencia y Rebeldia_Mujeres y la Sexta en la otra Europa, GIGNV (44), Alternatiba Nantes (44), LA VIGIE - association de veille citoyenne et écologique de Bretignolles-sur-Mer (85) , Extinction Rebellion Val d'Oise (95), collectif les Philosophes Publics - Marseille (16), Collectif Stop Carnet (44), GIGNV (44), Alternatiba Nantes (44), Attac Reims (51), Tout brûle déjà Rouen (76), Association de Défense de la Vallée du Gambon (27), Exctinction Rebellion Reims (51), Extinction Rebellion La Rochelle (17), Extinction Rebellion Montpellier (34), Résistance à l'agression publicitaire Rouen (76)

Dessins d'Alessandro Pignocchi 17 juin Agir contre la réintoxication Alessandro Pignocchi17 juin Agir contre la réintoxication Alessandro Pignocchi17 juin Agir contre la réintoxication Alessandro Pignocchi17 juin Agir contre la réintoxication Alessandro Pignocchi

 

(1) on peut aller chercher pas mal d'infos dans la carte superlocal https://superlocal.team/

(2) multiplication des cancers dus aux pesticides et aux substances toxiques, surpoids, diabète et hypertension tous trois liés à l’alimentation industrialisée (qui touche un tiers de l’humanité et est la principale co-morbidité des malades atteints du covid-19), morts prématurées de la pollution atmosphérique, résistance bactérienne liée à la surconsommation d’antibiotiques, et à une échelle autre qu’humaine, effondrement de la biodiversité, sixième extinction des espèces, un milliard d’animaux tués dans les incendies australiens sans fin l’été dernier.

(3) voir lien vidéo cimenterie partagez c’est sympa occupation de cimenterie https://blogs.mediapart.fr/partager-cest-sympa/blog/110320/fin-de-chantier-lafarge-est-bloque et d'autres